En Thaïlande, le riz est incontournable. Il fait partie intégrante de la de la vie et de la culture Thaïlandaises. On en mange à tous les repas, de l’entrée au dessert, sous toutes ses formes, frit, gluant, à la vapeur, bouilli, croustillant, en boulettes, en saucisses en plat de résistance. Selon sa préparation, on le sert dans des bols, des sachets en plastique, des paniers d’osier, moulé sur des assiettes, dans des tubes de bambous, des feuilles de bananier et même en brochettes. En Thaïlandais, le riz se dit « khao ». Pour dire « faire la cuisine », on dit « kap khao ». Dans sa version familière, « manger » se dit « kin khao » et, lorsqu’on veut marquer une certaine déférence (dans un restaurant envers le client, par exemple), c’est « than khao ». « Belle », se dit « sou ai », beau se dit « lo » mais « khao sou ai » signifie « riz cuit à la vapeur ».
Rizière à proximité de Chiang Rai
Vente de riz en sachets sur un marché en bord de route entre Chiang mai et Chiang Rai.
Vendeuse de Sticky Rice sur le bord de la route un peu avant Khon Kaen, le visage couvert pour limiter la pollution. Elles sont plusieurs à tenir des stands tout proches les uns des autres et à se prosterner face aux voitures avec de grands gestes pour inciter les conducteurs à s’arrêter.
Sticky Rice vendu en bâtons de bambou sur le bord de la route. Ils sont tous parfumés à la noix de coco, parfois ils contiennent aussi des morceaux de coco fraiche, de la racine de taro, des graines, des pois, des haricots rouges ou noirs.
Sur la promenade de Nong Khai, le matin vers 9h, nous avons assisté à la préparation d’un Khao Tom vietnamien. La cuisson… Ici les pois qui cuisent à la vapeur après avoir été rincés et avant d’être broyés.
Le refroidissement à l’eau des pois et du riz…
L’atelier de montage en plusieurs couches (riz, échalotes, pois broyés, porc bouilli, riz, pois broyés) emballées dans des feuilles de bananier…