Hier, en rentrant de la plage, j’étais affamée. En voyant tout le basilic que j’avais au frigo plus celui qui pousse sur la terrasse, j’ai d’abord eu l’idée de faire un pesto et puis, comme j’avais envie de sucré, j’ai tenté ce gâteau. L’alliance pomme-basilic est d’une telle évidence que je me demande comment je n’y avais pas pensé plus tôt… Un biscuit léger, d’une simplicité élémentaire, qui ne manque pas d’originalité. Sans bavure.
Pour 1 moule à tarte de 20 cm de diamètre
- 2 œufs
- 1 bouquet de basilic
- 1 grosse pomme golden
- 1 filet de jus de citron
- 5 cuillers à soupe de petite taille bien bombées de farine de blé bio
- 1 pincée de sel
- Un peu moins d’1/2 sachet de levure chimique
- 4 à 5 cuillers à soupe de petite taille bien bombées de vergeoise blonde (ou de rapadura, ou encore, de tout autre sucre de canne en poudre)
- 1 tasse à café d’huile d’olive + 1 filet pour le moule
Préchauffer le four à 180°. Huiler le moule.
Éplucher la pomme, la couper en huit quartiers eux-même tranchés en fines lamelles. Citronner le tout et réserver.
Rincer le basilic et mettre les feuilles dans le bol du robot-hachoir avec 1/3 de la tasse d »huile. Mixer jusqu’à obtention d’une sorte de purée.
Battre les œufs avec le sucre en un mélange mousseux. Ajouter le basilic et verser le reste de l’huile d’olive. Mélanger. Tamiser la farine avec la pincée de sel et la levure te bien mélanger le tout de nouveau. Incorporer les morceaux de pomme puis verser la pâte dans le moule et enfourner pour environ 15 à 20 minutes selon la puissance de votre four. Déguster encore un peu tiède.
J’ai confectionné ce gâteau sous le coup d’une impulsion avec ce que j’avais chez mi à ce moment là mais vous pouvez très bien y ajouter des noix, des amandes ou des noix de de pécan concassées, ou bien des pignons, par exemple. Il n’en sera que meilleur.
Vous pouvez râper la pomme au lieu de la trancher au couteau, elle sera plus cuite et le gâteau gagnera en moelleux.