A priori, la tomate mozarella est simplissime. Ce qui fait la différence c’est, primo, la qualité des produits, secundo, la proportion des ingrédients i… basta. Et si vraiment vous voulez un tertio, alors, ce sera la petite touche perso… Pour moi ce sera un délicieux poivron rouge du jardin à la chair tendre et goûteuse taillé en julienne tout comme ma tomate et quelques olives de Kalamata. Mmmm…
Tout d’abord, la mozzarella. Italienne bien sûr, chez le fromager ou le traiteur italien de préférence et surtout, de buffala, s’il vous plait… et uniquement. La vraie mozarella au lait de buffle a une saveur incomparable et fond dans la bouche. Pour qu’elle soit bien fondante, il vaut mieux choisir une grosse boule de 400 à 450 g et la trancher. Si vous êtes seul(e) à vous faire plaisir, je recommande de conserver ce qu’il reste au réfrigérateur dans le sachet d’eau dans lequel elle est vendue (maxi 48h, après elle fond littéralement) à l’intérieur d’une boite au couvercle hermétique en plastique ou en verre.
La tomate, elle, de préférence bio, a une chair bien mûre, douce et pulpeuse. Une cœur de bœuf à point du jardin est idéale mais, à défaut de potager, Je l’achète sur le marché chez les petits producteurs indépendants.
Le basilic. Frais, très frais, avec de belles feuilles vertes et charnues.
Et enfin, l’huile d’olive, en filet généreux. Une belle huile vierge extra qui, de préférence, vient également de chez un petit producteur.
Ensuite on allie le tout. La mozza tranchée sur le fond de l’assiette, la tomate en tranches, ou comme la mienne coupée en petits dés, le basilic et le filet d’huile d’olive…
Quant aux proportions, il est important qu’il n’y ait pas trop de tomate par rapport à la mozzarella sinon on se sent frustré sur la fin… Les bonnes proportions sont selon moi : 50/50 avec assez de basilic pour en avoir à chaque bouchée et assez d’huile pour avoir envie de saucer l’assiette avec du bon pain !
Buon appetito a tutti…